Du fait du braconnage, de la chasse, de la cueillette, mais aussi de la recherche scientifique et du tourisme, les interactions homme-faune sont de plus en plus fréquentes dans la forêt du Bassin du Congo et présentent certains risques sanitaires pour les animaux et les hommes. Le Parc travaille avec les communautés, les vétérinaires et les chercheurs pour limiter les risques de transmission de pathogènes, pour contribuer à une meilleure compréhension des zoonoses et pour une meilleure gestion de ces interfaces. Cette approche, à la croisée de la santé humaine, faunique et environnementale, appelée "One Health", est importante pour la conservation de la faune et comme pour la santé publique.